mercredi 30 mai 2007

Laâyoune, Le musée des arts du Sahara

Ouvert en 2001, Le musée des arts du Sahara de Laâyoune est situé au sein de la maison de la Culture, il présente à travers ses collections le patrimoine culturel saharien et le désert Marocain...
Constituée de collections qui représentent l’artisanat local, bijoux, costumes féminins, instruments de musique, ensemble de selles, objets en cuir, reconstitution d’une école coranique, présentation d’une tente nomade, et des accessoires du dromadaire qui représente l’animal le plus prisé au Sahara…

Villa Marrakech

jeudi 24 mai 2007

El Jadida, Moussem de Moulay Abdallah



Le village de pêcheurs de Moulay Abdallah, au sud d’El Jadida est, au mois d’août, le lieu où se déroule l’un des plus beau moussem de tout le Maroc. Les points culminants de ce pèlerinage vers la Zaouia du Saint sont constitués par des jeux équestres, des fantasias, où les cavaliers montrent leur agilité exceptionnelle.

mercredi 16 mai 2007

Chefchaouen, Les reliefs

La Province de Chefchaouen se situe sur la chaîne rifaine. Les montagnes, d'une structure géologique relativement récente, sont formées de couches siliceuses et calcaires très accidentées avec des sommets dépassant parfois 2000 m.
La ville de Chefchaouen se situe à 600 m d'altitude.

On distingue dans cette Province trois variétés de climat :
• La zone montagneuse au climat typiquement méditerranéen, pluvieux et froid en hiver et doux en été. Les précipitations y sont les plus importantes et varient entre 800 et 1.400 mm/an atteignant parfois 2.000 mm/an avec des chutes de neige.
• Un climat semi-aride qui domine la zone côtière avec des précipitations qui varient entre 300 et 400 mm/an.
• La zone Sud est caractérisée par un climat humide en hiver et sec en été avec des précipitations oscillant entre 900 et 1.300 mm/an.
Ces fortes précipitations, conjuguées aux caractéristiques morphologiques du terrain, exposent cet espace rifain au phénomène de l'érosion et de l'éboulement. Ainsi, la perte du sol est estimée à une moyenne annuelle de 3.500 tonnes par km2, soit la plus forte perte à l'échelle nationale.